Le 14 juillet à Angers c'est le 13. Je me demande si c'est pour que les gens puissent aller à Paris le lendemain...
J'y étais l'an dernier (à Paris), et c'était chouette mais je ne le referai probablement pas de sitôt ! Le feu est beau, certes, mais c'est trop éprouvant de défendre son coin de champ de mars pendant des heures !
À Angers, finalement, ce n'est guère plus reposant. D'abord on va au concert de la Cipale. Il fait chaud encore sur le jardin du mail, et les chaises gentiment installées sont en plein cagnard ; la plupart des gens préfèrent la pelouse un peu ombragée.
Après on va à la parade militaire sur la place Leclerc (devant le palais de justice). On s'assied au pied de l'arbre, c'est super on y voit très bien ! L'an dernier on avait renoncé en pensant qu'il y avait trop de monde, mais en fait c'est parce que personne n'ose s'approcher des képis, il y a plein de places assises libres devant ! Le silence qui règne est un peu bizarre, mi-effrayant mi-rigolo. Tout ce décorum a sa raison d'être, mais pour nous qui avons la chance de vivre ici et maintenant, ça ne veut plus dire grand chose ; énorme pensée pour tous ceux qui ne sont pas dans ce cas là...
Et après on descend vers la Maine voir le feu. Bon ça fait un peu serré comme emploi du temps quand même. Je pense que l'an prochain on zappera la parade qui n'a pas grand intérêt (ya même pas de manoeuvre ! Bon ya la marseillaise et la fanfare du génie mais ça va pas chercher très loin) pour être mieux placé au feu. Malgré les plein plein plein d'angevins, c'était assez calme et zen, c'est de la foule qui ne fait pas trop peur, ça va. Un petit coup de vélo qu'on avait garés au château (15 minutes merci chéri qui me pousse pour remonter le boulevard ! :-) ) nous ramène à la maison pour minuit (à comparer aux trois quarts d'heures de marche pour éviter la ligne 6 du métro l'an dernier).
J'y étais l'an dernier (à Paris), et c'était chouette mais je ne le referai probablement pas de sitôt ! Le feu est beau, certes, mais c'est trop éprouvant de défendre son coin de champ de mars pendant des heures !
À Angers, finalement, ce n'est guère plus reposant. D'abord on va au concert de la Cipale. Il fait chaud encore sur le jardin du mail, et les chaises gentiment installées sont en plein cagnard ; la plupart des gens préfèrent la pelouse un peu ombragée.
Après on va à la parade militaire sur la place Leclerc (devant le palais de justice). On s'assied au pied de l'arbre, c'est super on y voit très bien ! L'an dernier on avait renoncé en pensant qu'il y avait trop de monde, mais en fait c'est parce que personne n'ose s'approcher des képis, il y a plein de places assises libres devant ! Le silence qui règne est un peu bizarre, mi-effrayant mi-rigolo. Tout ce décorum a sa raison d'être, mais pour nous qui avons la chance de vivre ici et maintenant, ça ne veut plus dire grand chose ; énorme pensée pour tous ceux qui ne sont pas dans ce cas là...
Et après on descend vers la Maine voir le feu. Bon ça fait un peu serré comme emploi du temps quand même. Je pense que l'an prochain on zappera la parade qui n'a pas grand intérêt (ya même pas de manoeuvre ! Bon ya la marseillaise et la fanfare du génie mais ça va pas chercher très loin) pour être mieux placé au feu. Malgré les plein plein plein d'angevins, c'était assez calme et zen, c'est de la foule qui ne fait pas trop peur, ça va. Un petit coup de vélo qu'on avait garés au château (15 minutes merci chéri qui me pousse pour remonter le boulevard ! :-) ) nous ramène à la maison pour minuit (à comparer aux trois quarts d'heures de marche pour éviter la ligne 6 du métro l'an dernier).
Le château brûle !
